Combien de fois j'aurais voulu que tu me files ta merde dans ma bouche et pourtant, tu le sais - combien j'aime avoir un petit con frais, d'une propreté exquise, avec un parfum de lavande. C'est plus indécent (je trouve).
Une seule fois où je me chatouillais l'entre les fesses avec le bout de ta pine qui était mou, j'ai vessé doucement et je me suis retournée pour sentir l'odeur, ce bout de pine qui puait, c'était délicat à sucer mou: tu sais que j'en raffole. Mais l'odeur! J'en ai rougi tant j'aimais ça!
Rappelle-toi: Gaston était là. Je lui ai fait signe de m'enculer, j'étais à genoux, je lui ai fait comprendre en lui montrant mon trou du cul du doigt: alors il m'a défoncé les tripes.
Hou! Quand j'y songe, j'ai tout un frisson, un frisson osseux, tout grinçant, j'ai le cœur en boucherie et tu vois, comme je suis nue devant la glace, ce qui me plait est de me passer ma houppe à poudre de riz sur le con.
Dommage que tu ne voies pas le petit babouin sur la chaise les jambes en l'air, ouvertes, et la houppe...
La poudre de riz et le foutre, cela s'accorde tendrement. A ces moments-là tu m'emmenais nue sous un vison dans les rues. C'était si doux quand tu m'enfilais dans les coins noirs. Ah! J'en décharge... et je hoquette... Dieu comme c'est bon d'avoir le con tordu en déchargeant.
"La Houppette" dans "Poèmes et nouvelles érotiques" de Georges Bataille, Ed. Mercure de France
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